Dans son livre Se libérer du superflu (Rue de l’Échiquier 2016), N. Paech dessine une société de « post-croissance », durable et moderne. Si les citoyens occidentaux jouissent d’un niveau de richesse en biens et en mobilité sans précédent dans l’histoire, c’est au prix d’un saccage des ressources naturelles. Nos sociétés de consommation rognent sans complexe sur les opportunités offertes aux générations futures et aux autres habitants de la planète.